Adieu plancher des vaches!
Bon visiblement j'ai bien choisi mon titre car je viens de lire à propos de cette expression: "On disait aussi autrefois : "Il n'est rien tel que le plancher des vaches" pour indiquer qu'il y a beaucoup moins de danger à voyager par la terre que par la mer" (source)
Comme chaque veille de vacances, j'ai la boule au ventre, que je parte à dix kilomètres ou au sur un autre continent. Partir avec deux enfants m'angoisse manifestement deux fois plus; même si je dois reconnaître que je deviens très rapide et efficace dans l'organisation du départ, l'anticipation des sacs, du linge etc.
Pourtant, c'est plus fort que moi. Si j'ai réussi à la dernière minute à convertir des euros en livres sterling, j'ai totalement oublié de prévoir le temps de transfert d'argent de banque à banque. Nous partons donc avec zéro euro sur le compte commun, attendant la notification de virement, tout en sachant que je dois encore en effectuer un dernier avant que l'argent atterrisse sur le bon compte. Tout ça en n'avertissant pas l'Epoux, bien sur (peut-être cela expliquerait peut-être la boule au ventre finalement?).
Je laisserai ma place ici mardi, jeudi et vendredi, vous rejoindrai mercredi pour une recette familiale normande et si je ne parviens pas à me résister à l'appel de mon ordi, que j'emmènerai, je passerai vous raconter à quel point le souvenir de la boule au ventre est lointain!
Belle semaine à vous!